22 novembre 2011

Parfois on se fait la guerre parce qu’on s’est aimé plus qu’on aurait dû.

de Cécile Ladjali, Les Souffleurs

Erik Johannson, pensées à retenir

11 septembre 2010

Diapo power point: photos_erik_johannson

Vagues

11 septembre 2010

Diapo Power Point à voir: vagues CS210310

Olivier Föllmi

5 septembre 2010

Une vision, un regard, un point de vue, une expérience… du photographe voyageur Olivier Föllmi, qui touche et émerveille par ses sublimes images.

Extrait de son site http://www.follmispirit.com/ :

« Mon expérience

J’aime le voyage car il me permet de vivre libre et de m’émerveiller du monde. J’aime la photographie qui m’aide à aller vers tous les hommes, sans préjugé. Je suis donc photographe voyageur et le monde est mon studio. Mon matériel essentiel est une sacoche de magie. En arrivant dans un village, je ne porte jamais d’appareil photo en bandoulière : il reste dans mon sac à dos. Je me repose au centre du village et quand un enfant s’approche, je lui fais quelques tours de magie. Petit à petit, les villageois m’encerclent et tout le monde s’amuse. J’aime la magie comme langage qui se passe de mots et parle à toutes les générations. Elle permet d’offrir d’emblée quelque chose de simple, de merveilleux à des villageois dont la vie est souvent routinière, sans aucune distraction. Une fois que j’ai épuisé tous mes tours , qu’on m’a demandé dix fois de les refaire, j’envisage de prendre mes photos. Elles deviennent le prolongement de la magie, la suite de mon théâtre. Pour cela, je déploie souvent avec mes assistants des accessoires inutiles , des réflecteurs, des fonds, simplement pour étoffer le décor de mon théâtre. Tout le monde souhaite alors jouer dans la pièce, sur la scène du village ! La magie et la photographie sont pour moi prétextes à l’échange. Elles me permettent d’être au cœur de la vie.

Pour photographier, je marche parfois des heures pour atteindre une crête et trouver une vue qui me satisfasse. Puis, j’attends des heures encore la bonne lumière. Une photo réussie découle du temps qu’on lui consacre, d’autant qu’il faut bien prendre son temps pour ne pas le perdre. J’aime ces longs moments de marche puis d’attente et d’espérance, qui me permettent de me mettre en communion et de recevoir l’image comme une grâce. Lorsque enfin, à l’instant divin de la rencontre des trois joyaux, le lieu, la lumière et l’homme, j’appuie sur le déclencheur, j’éprouve un profond sentiment d’amour. J’ai l’impression de pénétrer dans l’essence même du monde. L’œil rivé à mon viseur, j’ai peine à quitter cet espace de plénitude où se retrouvent toutes les vérités pour revenir à la réalité du vent, de la nuit qui tombe, des gens autour de moi. Lorsque j’ai la chance de vivre une telle rencontre en photographiant une personne, il m’arrive d’avoir des larmes dans les yeux lorsque je relève la tête. La personne que je photographie aussi. J’entrevois dans ces moments de profonde sérénité une infime parcelle d’un espace inaltérable, celui dans lequel les moines s’immergent grâce à la méditation. Aux prémices de ma vie de voyageur, dans ma quête de vérité, j’ai hésité à devenir moine. J’ai choisi la Voie du milieu, j’ai choisi d’être photographe.

Le résultat de ma photo m’importe peu, l’alchimie de la matière ne me concerne plus. J’ai vécu une rencontre transcendée qui me comble. Si cette image en touche d’autres par une beauté qui dépasse son apparence, c’est qu’elle les emmène dans les grandes profondeurs de la vie, ou dans les hautes sphères de la vie, là où il n’y a plus de haut ni de bas. L’émotion d’une photo surgit d’un espace incréé, germe par une rencontre et doit pouvoir se répandre librement et généreusement. Cette photo appartient à celui qui la donne, à celui qui la prend, à celui qui la transmet et à celui qui la contemple. Etre photographe voyageur, c’est être passeur de rencontres et d’émotions. J’aime la photographie pour recevoir, rendre et partager.

Mon engagement photographique est à contre pied du parti pris des médias de ne pointer que les faits issus de la violence. Pour obtenir la paix, il faut propager un esprit de paix, c’est la seule façon de traiter les problèmes. Mon parti pris photographique est de valoriser les hommes et les femmes dignes que je rencontre, qui nous font aimer l’humanité qu’ils construisent humblement, pacifiquement. La photographie est ma contribution à la paix du monde.

« On m’a déjà demandé pourquoi je ne participais pas aux manifestations contre la guerre. J’ai répondu que je ne ferais jamais cela, mais que je serais la première à participer à un événement pour la paix ».
Mère Teresa                     « 

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